Lorsque l'on voit un soldat blessé,
on est immédiatement saisi par le fait
que l'on a devant soi une personne qui l'a protégé
(celui qui observe le soldat),
lui, sa famille et son peuple
— et ceci, en se mettant,
délibérément, en danger de mort.
Il apparaît même
que la “signature” de ce don de soi
est désormais gravée dans le corps de ce soldat...
NOTES
1.
Vol. 29, p. 37.